La semaine passée notre article a porté sur le regard dans le secteur de services plus particulièrement celui d’hôtellerie et tourisme. Nous allons continuer cette semaine en jetant un regard sur les services de transports et les opportunités y attachées.
Notre thèse est comme toujours que, l’espace grand Kivu est un paradis des opportunités pour quiconque voudrait devenir entrepreneur, et il suffit de continuer à nous lire pour s’en rendre compte.
Pour cette semaine, voici 2 opportunités d’entreprise que vous pouvez commencer dans le secteur de transport.
Une compagnie de transport vers les pays d’EAC
Ça fait quoi d’appartenir dans la communauté de l’Afrique de l’Est (le East Africa Community) ? Très peu des congolais se sont posé la question. Pourtant, en y adhérant nous avons adhéré à une communauté régionale avec le taux le plus élevé de la croissance économique, un marché de plus de 250 millions de consommateur et une de région le mieux intégrée d’Afrique.
Cette agence peut ouvrir des lignes vers Kigali, Kampala, Nairobi, Dar es salam et faciliter la vie à des milliers des Congolais qui aimeraient tenter de s’ouvrir au monde, chercher des opportunités d’affaires et visiter d’autres pays.
2. une entreprise de facilitation des
importations-exportations.
Beaucoup des jeunes étudiants voudraient se lancer dans le business pour leur permettre d’avoir un petit revenu alors qu’ils continuent leurs études.
Seulement, ils font face à deux problèmes : le premier c’est qu’assez souvent ils n’ont pas quelqu’un de fiable chez qui ils peuvent envoyer de l’argent pour obtenir la marchandise.
De deux, souvent le capital est tellement faible qu’ils sont découragés. Sans compter les problèmes liés au transport avec un réel risque que la marchandise se perds pendant le trajet et les prix élevés de transports (passeport, visa, etc.)
Cette entreprise peut se positionner comme solution à ces deux problèmes en ce sens qu’elle peut collecter des sommes de plusieurs jeunes qui veulent faire du business, aller faire des achats pour eux soit à Kampala, Nairobi, Dar es Salam, Chine, Dubaï, atteindre de volume importables et chacun viendra récupérer sa marchandise à l’agence. L’agence pourra alors être payée pour ce service rendu.
Cela peut aussi marcher dans l’autre sens, cad qu’il existe des jeunes entrepreneurs qui peuvent (et voudraient) vendre leur produit sur le marché régional ou international mais n’ont pas des volumes exportables, l’agence peut collecter les produit locaux chez plusieurs entrepreneurs, atteindre les quantités exportables et faciliter leur exposition et vente sur le marché international.
JEAN Consolateur
Kommentare