Après avoir retrouvé le corps sans vie d’une jeune étudiante de l’Institut Supérieur des Techniques Médicales ISTM-Bukavu dans son domicile le mardi 25 octobre dernier au quartier Nyamugo en commune de Kadutu,
le Collège provincial des étudiants du Sud-Kivu monte au créneau et exige qu’une autopsie soit effectuée sur le corps de la victime avant tout enterrement pour dénicher le mobile de sa mort.
Selon le Porte-Parole provincial des étudiants Samuel Byamungu, découvrir exactement le mobile de la mort de cette étudiante est la chose la plus importante et plaider pour la sécurisation de tous les étudiants.
De son côté le porte-parole des étudiants de l’ l’Institut Supérieur des Techniques Médicales de Bukavu ISTM-Bukavu exige les enquêtes pour afin dénicher ceux qui ont été à la hauteur de cet acte qui a couté la vie à une étudiante de son institution.
Toutefois, il précise que la victime étudiante de son état serait étranglée d’où les services de sécurité sont appelés à mener des enquêtes pour mettre la main à ceux-là qui ont commis ces actes ignobles qui ont couté la vie à une étudiante de surcroît.
Présent sur le lieu, le Porte-Parole des étudiants de l’ISTM-Bukavu, précise que les bandits se sont introduits chez la victime et n’ont rien emporté ils ont juste laissé des barres de fer et une cordelette sur le lit.
A lui de préciser qu’aucun signe de sang n’était sur le corps. Ainsi, il demande qu’une enquête soit diligentée pour dénicher ceux qui ont ôté la vie à leur camarade.
Disons cependant que certains témoins précisent que des inconnus se sont introduits dans le domicile de la victime aux environs de 4 heures du matin, pendant que tous les membres de la famille étaient endormis et en l’absence des parents.
Ils précisent en outre que son père était en déplacement en territoire de Mwenga, et sa maman à Minova où elle exerce des activités de commerce et que c’est bien elle qui prenait la charge des enfants étant la plus âgée.
Rédaction
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