Dans une réunion d'évaluation des échecs de l'examen d'état Exetat édition 2021-2022 tenue le 20 Septembre 2022 au Bureau de Coordination de la société civile forces vives du Sud-Kivu à Bukavu , plusieurs points ont été évoqués par les acteurs sociaux qui fustigent le taux élevé d'échecs des élèves finalistes à Bukavu.
Dans ces assises il a été constaté que dans la province éducationelle Sud-Kivu 1 plusieurs finalistes ont échoués et pourtant brillants à l'école.
la société civile qualifie ces échecs d'injustes en appellant ainsi aux actions citoyennes de grande envergure.
Pour les participants des assises qui sont les représentants des parents, des enseignants, le syndicat des enseignants et les acteurs de la société civile ; il s'est constaté que le taux de réussite donner à la province était un mauvais pourcentage.
Ces derniers disent avoir été informés dans une séance tenante que le critère de correction de l'examen d'état a changé et les questionnaires n'étaient pas les mêmes pour les provinces éducationelles, chose que nie le président de L'ANAPECO ayant pris part à la réunion !
Pour le président de L'ANAPECO, on les a communiquer que le taux de réussite à l'exetat au sud-kivu etait de 77% mais après la publication de l'exetat ils ont été surpris de voir les échecs incalculables.
Au terme de cette rencontre certaines recommandations ont été prises par les acteurs de la société civile, il s'agit de :
- L'organisation d'une tribune d'expression populaire avec les parents, élèves et syndicalistes
- Mise en place d'une commission mixte avec comme partie prenante les parlementaires, les syndicalistes, les parents et les acteurs sociaux au but de confirmer ou d'infirmer les échecs à l'exetat !
- L'organisation d'une manifestation pour le dépôt du mémorandum demandant la réévaluation des élèves du Sud-Kivu qui ont passées l'exetat cette année scolaire 2021-2022.
La société civile forces vives du sud-kivu invite toute personne choquée de cette situation jugée d'injustice, de ce joindre à eux pour défendre le droit des opprimés et des parents congolais qui payent la scolarité de leurs enfants dans des conditions difficiles.
Victoire MULONGO.
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