La population de ville de Butembo s'est réveillée sous une psychose causée par le retentissement des armes à feu ce mardi 23 août 2022 en cellule Furu au quartier Congo Ya Sika, dans la commune Vulamba au Nord-Est de cette ville commerciale.
À la base, les miliciens Maï-maï ont tenté d'attaquer une position militaire des forces armées de la République Démocratique du Congo FARDC, ces dernières sont intervevu et ont réussi à contenir la situation
Contacté, le porte parole des opérations sokola1 grand nord le capitaine Anthony Mwalushay explique que c'était aux environs de 4 heures du matin que ces assaillants sont arrivés dans la ville.
Il salue l'intervention des FARDC qui ont neutralisé un de ces mai-mai et capturé deux autres et récupéré une arme. Il fait également savoir que l'armée loyaliste a vite maîtrisé la situation et qu'elle poursuit des patrouilles en vue de mettre hors d'état de nouir ces ennemis de la paix.
Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, viennent de capturer deux combattants Maï-maï dans la ville de BUTEMBO. Ces hors la loi ont été capturé après échanges des tirs entre FARDC et un groupe des maimai au quartier FURU qui est une zone d'influence de plusieurs groupes Maï-maï et des mouvements des pressions. Cet événement qui a plongé la ville de BUTEMBO dans une psychose,s'est passé à 4h de ce mardi 23 Août. Outre les deux combattants maimai arrêtés, l'armée loyaliste a neutralisée un combattant et son arme récupérée.
Tout en appelant la population civile au calme, Antony Mwalushay fait savoir que la situation est déjà maîtrisé par les FARDC et "que les capturé sont sont pour l'instant entre les mains des services spécialisés pour exploitation" et indique que "la situation a été vite maîtrisée par les FARDC qui continuent pour l'instant avec les opérations des patrouilles."
Notons que cette attaque a ciblé une position militaire nouvellement qui a été installée dans cette partie Nord de la ville après le passage des rebelles ougandais de l'Adf qui avaient occasionné l'évasion des détenus de la prison centrale de KAKWANGURA il y a maintenant deux semaines.
Agrippa Muyisa
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