Une année déjà depuis que la cité de Bunagana est sous l’emprise des terroristes du M23, Human Rights watch a recueilli plusieurs témoignages des victimes de cette occupation.
D’après ces témoignages, une femme de 46 ans a été violée par 4 terroristes du M23 après avoir tué la mère de la victime qui avait refusé de céder à une violence sexuelle perpétré par ces terroristes.
Un habitant de Kanombe précise : « Le M23 nous a dit que quiconque est contre eux mourra. Ils ne sont pas venus pour se battre, mais ils sont là pour reprendre leur terre. ICI nous devions travailler dans nos champs et leurs remettre nos récoltes. »
A Kitshanga, à deux semaines d’occupation, les terroristes du M23 ont violé plusieurs femmes où ces harcèlement sexuels ont conduit plusieurs hommes à quitter leurs femmes qui sont devenues enceintes sans savoir à qui appartient la grossesse.
Pour le mouvement citoyen Lutte pour le changement ;"LUCHA en sigle", le gouvernement congolais demeure sans une solution urgente pendant que plusieurs femmes ont été violées et d’autres citoyens ont perdu la vie.
Ce mouvement pro démocratie pense que le Rwanda et l’Ouganda à travers leurs dirigeants devraient mettre fin à la déshumanisation du peuple congolais et que l’ONU, UA, EAC et la CPI stoppent leurs complaisances vis-à-vis de la souffrance que traversent les congolais.
Notons que c’est depuis le 13 juin 2022 que les terroristes du M23 occupent illégalement la cité de Bunagana où ils imposent des lois aux paisibles citoyens.
Paterne MUTABESHA
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