Etant une entité ayant plusieurs tribus, la province du Sud-Kivu avec sa diversité culturelle constitue une force si celle-ci est bien exploitée sur le plan politique, social et économique souligne monsieur Anselme BALEKE coordonnateur national du Cadre Citoyen pour la Renaissance du Peuple CCRP en sigle.
Au cours d'une matinée d'éducation civique de sensibilisation sous le thème “La diversité Culturelle au Sud-Kivu, un handicap ou une force pour le développement de la province” tenue ce weekend 26 novembre 2022, Anselme BALEKE a voulu expliquer l'ensemble de la population de Kasha sur la gestion de la chose publique par l'ensemble des tribus et ethnies constituant cette entité.
Parlant de la diversité culturelle qu'incarne la province du Sud-Kivu, ceci aidera la RDC pour sa reconstruction et le changement du dogme de la gestion politique précise-t-il.
“Au Sud-Kivu, chaque tribu est censée se retrouver dans la gestion de la chose publique parce qu’à travers cette diversité culturelle il y a une force qui ne peut jamais constituer une faiblesse” ajoute-t-il.
Celui-ci précise que le Mushi, Mubembe, Muhavu, Mufuliru, Murega et d’autre tribus constituent une force majeur pour le décollage de la province qui tarde a avancer pendant que ce parmi la richesse de la province.
Notre source estime que la province du Sud-Kivu possède une multitude de tribus et ces tribus constituent un atout pour l’ensemble de la province surtout pour son développement ayant pour doctrine le panafricanisme socialiste qui prône un nationalisme positif jugé capital pour celui-ci surtout pour l'émergence du pays et de l'Afrique en général, le CCRP a comme mission le renouvellement et le rajeunissement de la classe politique en République Démocratique du Congo et en province du Sud-Kivu en particulier à travers les élections de 2023, en alignant et en accompagnant un grand nombre des jeunes des tribus confondus capables de répondre positivement aux attentes du peuple congolais explique notre source.
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Abordant la situation socio-politique de la RDC et de la province du Sud-Kivu en particulier Anselme BALEKE fustige le silence de la communauté internationale face à l'agression de la RDC par ses voisins entre autre le Rwanda et l'Ouganda et qui à travers cette agression 14 millions des Congolais ont déjà perdu la vie.
Anselme BALEKE demande au peuple congolais d'être vigilant et surtout et barré la route à l'ennemi qui veut la balkanisation du pays et à la communauté internationale de créer un tribunal international pénal pour le Congo afin de juger sans distinction des personnes citées dans le rapport Mapping.
Notre source signale qu'il suit de près la situation socio-politique de la province et demande aux députés provinciaux de jouer pleinement leurs rôles et condamner un comportement anti-démocratique tendant à faire taire les acteurs politiques et sociaux qui dénoncent la gestion opaque de la province, la menace d'arrestation des certains élus qui ne sont pas de la même philosophie avec l'exécutif provincial.
Celui-ci dit être consterné du silence radio qui caractérise les députés nationaux élus du Sud-Kivu et craint que ça soit une complicité contre la province.
"Il est temps de commencer la campagne Zéro député, élu réélu en 2023, car ces derniers ont échoués en défendant leurs intérêts en lieu et place des intérêts du peuple victime" conclu-t-il.
Notons que la semaine achevée le gouvernement provincial du Sud-Kivu a été déchu après vote de la motion de censure contre celui-ci, une destitution qui est contestée par le gouverneur de province en disant que ça n'a pas suivi une ligne légale.
Paterne MUTABESHA
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