La naissance des plusieurs partis politiques fait la une en République démocratique du Congo pendant cette préélectorale.
Plus de 600 parti existent au pays depuis 2018 et d’autres sont entrain d’être créés, une situation qui met en péril la politique du pays et bloque le développement de la RDC, selon plusieurs observateurs.
Certains politiques à mal de positionnement jugent bon de se faire leur propre chemin en créant des partis politiques tout en gardant leur mandat a l’assemblée provinciale tout comme nationale.
Ce désordre observé en République démocratique du Congo viole l’article 110 de la constitution fustige monsieur Barthelemy MWAMBUSA analyste politique et défenseur judiciaire en province du Sud-Kivu.Se confiant à un reporter de KIVUKWETUINFO.NET, notre source s'indigne de constater que les hommes politiques sont animés d'une soif exagérée du pouvoir en oubliant que la population fait Pacé à plusieurs défis.
« Tout député national ou tout sénateur qui quitte délibérément son parti durant la législature est réputé renoncer à son mandat parlementaire » peut-on lire dans la constitution de la RDC a son article 110.Pour cet homme de droit, toute cause d’inéligibilité à la date de l’élection constatée par l’autorité judiciaire entraine la perte du mandat.
Celui-ci précise que, tout députe ou sénateur doit être loyal a l’égard de son parti politique qui lui a donné le mandat.Barthelemy MWAMBUSA demande aux bureaux de l’assemblée national et provinciaux de punir sévèrement les députés qui quittent leurs partis en cours mandat.Notons qu’en 2018, le ministre de l’intérieur à l’époque Henri MOVA avait déposé à la CENI une liste actualisée des partis et regroupement politiques reconnus en RDC.
600 partis politiques et une centaine des regroupements politiques avait été déposé à la commission électorale nationale indépendante. Depuis 2018 jusqu’à ce jour d’autres partis politiques ne cessent de naitre au pays.
Paterne MUTABESHA
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